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Fennec

Découvrez notre base de ressources documentaires. Fennec vous offre l’opportunité de rechercher dans une base de donnée complète des informations exhaustives relatives à la Guerre d’Algérie, aux combats du Maroc et de Tunisie.

Livre

898 Résultats

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Livre

Paysages d'Algérie, économie et traditions (1900-1930)

  • TRUC Gustave

Gustave Truc est un cartophile passionné et averti. Des années de recherches lui ont permis de présenter ici une sélection de documents iconographiques anciens sur...

Gustave Truc est un cartophile passionné et averti. Des années de recherches lui ont permis de présenter ici une sélection de documents iconographiques anciens sur l'Algérie. L'objectif des photographes du début du XXe siècle a capté des images d'une beauté rare. De l'oasis d'Igli dans le sud saharien au port de Bougie, des terres céréalières de Bône aux champs escarpés de Bouïra au sud de la Kabylie, l'Algérie d'il y a cent ans offre son visage aux multiples facettes. Objet de toutes les conquêtes depuis les Phéniciens jusqu'à l'arrivée de Français, ce pays, carrefour de civilisations, dévoile en images un patrimoine archéologique exceptionnel, la diversité de son agriculture, la richesse de ses traditions familiales et culturelles. Grâce à ces quelques clichés jaunis par le temps, l'Algérie nous livre ici un peu de son âme. Cet album de souvenis, simple reflet d'une époque, nous rappelle combien ce pays est attachant. 

Date : 2000

Editeur : Alan Sutton

Langue : Français

Pages : 128

Edition : Collection mémoire en images

ISBN : 2-84253-517-0

Cote : A(1)TRU(Pays)

AlgérieEconomiePhotographie
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Le Colonel Lotfi

  • BALI Bellahsène

Dghine Benali est né le 07 mai 1934 à Tlemcen. Son père Abdelkrim dit Abdellah Dghine était employé de mairie et a eu deux épouses....

Dghine Benali est né le 07 mai 1934 à Tlemcen. Son père Abdelkrim dit Abdellah Dghine était employé de mairie et a eu deux épouses. Sa mère Mansouria décéda, et son père se remaria avec une européenne convertie à l’Islam qui devint Hadja Zohra . Cette deuxième épouse a eu la tâche d’élever le jeune Dghine . Ce dernier, reconnaissant envers sa marâtre, lui voua beaucoup d’amour et respect. Le jeune Dghine Benali fit ses études primaires à l’école des indigènes, baptisée par la suite école « Décieux » qui est devenue après l’indépendance école El Abili. Dans cet établissement scolaire, fréquenté exclusivement par les « Indigènes » (c'est-à-dire les arabes) , exerçaient aussi des instituteurs algériens qui forgèrent la personnalité du jeune Benali. Ce dernier ne tarda pas à obtenir fièrement, quelques années après, son certificat d’études…De 1945 à 1947, Dghine Benali effectua, avec sa famille, un séjour à Alger. Aussitôt revenu à Tlemcen, Benali, titulaire du certificat d’études, repartit en 1948 vers Oujda, au Maroc, pour poursuivre ses études en 5éme. Très vite, dès 1949 il regagna sa ville natale où il fut admis en 1950 à la « Médersa » (école franco-musulmane). Cet établissement dont les bâtiments existent toujours au centre ville de Tlemcen, de style mauresque, formait des « cadres », des juristes destinés à prendre en charge les « Affaires Algériennes », c'est-à-dire les litiges et/ou contentieux relevant du statut personnel conformément au droit musulman , en exerçant les fonctions de ‘Adel , Bach’adel ou de Cadi . Les études y étaient dispensées très largement en arabe mais l’on y prodiguait aussi un enseignement en langue française à ces jeunes, avec des enseignants de qualité certaine, tels Messieurs Zerdoumi, Foufa, Si-Kaddour Naimi, Chaouch Ramdane, Millecam ou Roboton. Cet établissement fournit à la ‘’Révolution Algérienne’’ nombre de militants et de cadres dont Dghine Benali. 

Date : 2005

Langue : Français

Pages : 264

ISBN : 9961-901-23-1

Cote : B(2)BAL(Loft)

ALGERPolitique
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Edmond Michelet est-il un saint ? Biographie Interrogative

  • ZELLER Bernard

Edmond Michelet, né le 8 octobre 1899, résistant dès le 17 juin 1940, est déporté au camp de Dachau de septembre 1943 à mai 1945.

Edmond Michelet, né le 8 octobre 1899, résistant dès le 17 juin 1940, est déporté au camp de Dachau de septembre 1943 à mai 1945.
Il est ministre des armées de novembre 1945 à décembre 1946 dans les gouvernements dirigés successivement par le général de Gaulle, Félix Gouin et Georges Bidault.
Député M.R.P. puis R.P.F. de la Corrèze de 1946 à 1951, il est sénateur R.P.F. puis républicain-social de la Seine de 1952 à 1958 et milite ardemment pour le retour au pouvoir du général de Gaulle.
Ministre des anciens combattants dans le dernier ministère de la IVe République, dirigé par le général de Gaulle, il est ministre de la Justice de janvier 1959 à août 1961, en plein drame algérien. Au conseil constitutionnel de 1962 à 1967, il est élu député du Finistère en mars 1967 et prend le portefeuille de la Fonction publique dans le gouvernement Pompidou constitué le 7 avril 1967.
Réélu député du Finistère en juillet 1968, il soutient la candidature de Georges Pompidou à l'élection présidentielle de juin 1969 et devient ministre d'Etat chargé des Affaires culturelles dans le cabinet Chaban-Delmas. C'est dans ces fonctions qu'il décède le 9 octobre 1970.
La cause de béatification d'Edmond Michelet a été introduite dans le diocèse de Tulle en raison de son comportement admirable à Dachau.
Quel homme public Edmond Michelet a-t-il été après la seconde guerre mondiale ? C'est à cette question qui en soulève de nombreuses autres que tente de répondre ce petit livre. 

Date : 2010

Langue : Français

Pages : 140

ISBN : 978-2-9534756-0-9

Cote : B(2)ZEL(Mich)

FRANCEPolitique
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Livre

Le Général Gouraud, un destin hors du commun de l'Afrique au Levant

  • D'ANDURAIN Julie

La silhouette fine et élancée du général Henri Gouraud, avec des yeux bleus perçants encadrés par une barbiche empire, est bien identifiée durant l'entre-deux-guerres, car...

La silhouette fine et élancée du général Henri Gouraud, avec des yeux bleus perçants encadrés par une barbiche empire, est bien identifiée durant l'entre-deux-guerres, car le "glorieux manchot", né en 1867, amputé du bras droit aux Dardanelles, est le seul officier autorisé à saluer du bras gauche. Tout au long de sa carrière, il a su gagner l'estime de ses hommes qui voient en lui un officier courageux et soucieux de leur sort. Grand vainqueur de Ludendorff en juillet 1918, gouverneur militaire de Strasbourg reconquise, le général Gouraud est adulé par les Français en 1919, au point que l'on parle de lui pour le maréchalat. Sa carrière commence pourtant bien avant : à peine sorti de Saint-Cyr, il demande à partir en Afrique. Dans le sillage de Gallieni et de Joffre, il fait son apprentissage d'officier colonial, métier complexe où il n'est pas seulement soldat, mais également topographe, bâtisseur, administrateur et diplomate. Successivement explorateur du Tchad, conquérant de la Mauritanie, il est surtout un brillant disciple du général Lyautey au Maroc, entre 1912 et 1914. Après la Première Guerre mondiale, auréolé de gloire, il est envoyé au Levant par Clemenceau pour mettre en place la politique mandataire en Syrie et au Liban. Malgré des moyens limités, il réussit tant bien que mal à faire vivre le mandat, au prix d'une forte opposition de Mustapha Kemal et de Fayçal, fils d'Hussein de La Mecque. Revenu en France en 1923, il est nommé gouverneur militaire de Paris et membre du conseil supérieur de la guerre. 

Date : 2022

Editeur : Perrin

Langue : Français

Pages : 510

ISBN : 978-2-262-03588-4

Cote : B(3)AND(Gour)

Armée françaiseMaroc
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Livre

Salan

  • ANGELELLI Jean-Paul
  • ZELLER Bernard

Un vers de Baudelaire ouvre les mémoires inachevés de celui qui incarnera le combat pour l'Algérie fran­çaise : ''J'ai plus de souvenirs que si j'avais...

Un vers de Baudelaire ouvre les mémoires inachevés de celui qui incarnera le combat pour l'Algérie fran­çaise : ''J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans''. Ce «Qui suis-je?» Salan permet de suivre son excep­tionnel destin. Admis à Saint-Cyr en 1917, il choisit l'infanterie coloniale. Les combats de novembre 1918 marquent pour la vie ce jeune officier. Détaché dans l'adminis­tration coloniale en Extrême-Orient (1924-1937), il sort de la tourmente de 1940 avec trois citations. En 1944-1945, du débarque­ment en Provence à l'Allemagne, il mène ses troupes jusqu'à la victoire. En Indochine, aux côtés de Leclerc, en 1945, puis de De Lattre, en 1951, il défend ce pays qu'il a bien connu dans l'entre-deux guerres. Il y af­fronte un ennemi implacable: le Viêt-minh. En Algérie, de 1957 à 1958, il combat un autre ennemi : le FLN, et rétablit une situation compromise, non sans échapper à un attentat politique (affaire du bazooka). En mai 1958, il couvre une révolte patriotique contre la IVe République, appelant le général de Gaulle au pouvoir pour sauver l'Algérie française. Nommé gouverneur militaire de Paris en 1959, le géné­­ral Salan s'inquiète des ambiguïtés algériennes de la politique gaullienne. En avril 1961, il s'associe à un coup d'État militaire qui échoue. Il plonge alors dans une résistance militaro-civile, l'OAS (Organisation de l'armée secrète), qu'il conduit jusqu'à son arrestation en 1962. Condamné à la détention perpétuelle, il échappe à la peine de mort. Libéré en 1968, il se retire avec sa famille et recouvre tous ses droits. Jusqu'à sa mort, il n'oubliera, ni ne pardonnera la liquidation tragique de l'Algérie française.

Date : 2016

Langue : Français

Pages : 128

Edition : Collection qui suis-je ?

ISBN : 978-2-86714-498-1

Cote : B(3)ANG(Sala)

AlgérieArmée française

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